J’ai découvert un article sur le web dont la thématique est «l’automobile».
Le titre (Nissan X-Trail : davantage qu’un gros Qashqai) en dit long.
Annoncé sous la signature «d’anonymat
», le pigiste est reconnu comme quelqu’un de sérieux.
Il n’y a pas de raison de ne pas croire de la fiabilité de ces infos.
L’article en question :
On ne confondra en effet plus aussi facilement le X-Trail avec son petit frère. Il n’a pas la même face avant, pas les mêmes blocs optiques arrière et, dans l’ensemble, il interprète le nouveau style de Nissan de façon plus statutaire, plus adulte. De profil, on constate aussi que la partie arrière est un peu plus verticale que celle du modèle précédent. À bord, il y a de la place pour cinq grands adultes. En tout cas, en configuration « normale ». Car la banquette peut coulisser sur vingt centimètres, pour offrir plus de coffre, ou plus d’espace aux occupants des deux sièges supplémentaires. Notons ici la transparence de Nissan, qui annonce clairement que ces strapontins sont à réserver à des occupants pas plus grands que 1,60 mètre. Ces deux sièges se replient bien sûr en un claquement de doigts pour former le plancher de coffre, dont le volume est alors de 485 litres. Mais dans les versions cinq places, ce volume est de 575 litres, une référence pour la catégorie.
Un peu, beaucoup ou vachement hybride
Nissan propose trois solutions mécaniques pour le X-Trail, ayant toutes pour base un trois cylindres essence 1,5 litre. En entrée de gamme, il reçoit une micro-hybridation 12 V, pour 163 chevaux. Au milieu, il sert de générateur pour un moteur électrique, 204 ch au total. Enfin, Nissan ajoute un second moteur électrique (à l’arrière), pour une puissance cumulée de 213 chevaux, et une transmission 4×4 de facto. C’est cette version, nommée e-Power e-Force, que nous avons essayée. Durant l’essai, nous avons tout eu : des lacets montagneux, des routes en mauvais état, des virages humides et glissants dans les sous-bois au petit matin, de l’autoroute… Le châssis du X-Trail a tout géré, d’une part, avec une efficacité irréprochable, et surtout sans jamais se départir de sa douceur. On a envie de dire que c’est un châssis qui a de la classe, de l’élégance. Un travail absolument remarquable de la part des ingénieurs, et c’est encore plus bluffant quand on sait que ce travail est réalisé sur des suspensions classiques, pas un truc ultra-évolué à pilotage électronique. Du grand art !
Stéphane Monsin
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